Comme je disais, il n’y a rien à photographier, en ce moment. Une femme libre s’élève contre cette idée et me met au défi de trouver des choses à photographier.
Bon… Faut pas croire qu’il suffit de me lancer un défi pour que j’y fasse quelque chose, quand même. Mais de toute façon il ne s’agit pas de ça. Je sais où et quand les trouver, les photos. Si je dis qu’il n’y en a pas, c’est que j’y suis allée et qu’il n’y en avait pas. Pour la bonne raison qu’il n’y a pas de lumière en ce moment, et donc pas de photos. Parce que ce qu’on photographie, c’est la lumière. On peut avoir l’air de photographier un bison, mais ce qu’on prend c’est la lumière réfléchie par le bison. Pas de lumière, pas de photos, combien qu’il y ait de bisons. Et les bisons sans lumière, comme on a déjà vu, c’est dangereux.
Si je ne trouve rien à photographier c’est qu’on a eu du temps couvert presque tous les jours depuis que je suis rentrée de l’école, et les jours clairs il a fait froid. Avec le ciel couvert et de la neige partout, la lumière est grise et diffuse, donc inutilisable. Il n’y a ni saturation ni contraste, et on est à contre-jour dans tous les sens puisque la lumière vient de partout et de nulle part. Et en plus l’autofocus marche au contraste, alors pas de contraste, pas d’autofocus. Et pour mettre au point à la main sur l’appareil que j’ai, il faut se lever de bonne heure.
Ce que j’ai vu de plus intéressant aujourd’hui, comme lumière, c’est ceci :
J’espérais que ça donnerait mieux que ça. Si j’avais été au 16ème au lieu du 7ème étage j’aurais peut-être pu faire une prise plus longue, mais de chez moi, pas moyen, les lumières de la GRC sont trop vives.
Donc, jusqu’à ce que la météo me réussisse mieux, on va continuer à rediffuser des photos de jours plus lumineux.
Bon… Faut pas croire qu’il suffit de me lancer un défi pour que j’y fasse quelque chose, quand même. Mais de toute façon il ne s’agit pas de ça. Je sais où et quand les trouver, les photos. Si je dis qu’il n’y en a pas, c’est que j’y suis allée et qu’il n’y en avait pas. Pour la bonne raison qu’il n’y a pas de lumière en ce moment, et donc pas de photos. Parce que ce qu’on photographie, c’est la lumière. On peut avoir l’air de photographier un bison, mais ce qu’on prend c’est la lumière réfléchie par le bison. Pas de lumière, pas de photos, combien qu’il y ait de bisons. Et les bisons sans lumière, comme on a déjà vu, c’est dangereux.
Si je ne trouve rien à photographier c’est qu’on a eu du temps couvert presque tous les jours depuis que je suis rentrée de l’école, et les jours clairs il a fait froid. Avec le ciel couvert et de la neige partout, la lumière est grise et diffuse, donc inutilisable. Il n’y a ni saturation ni contraste, et on est à contre-jour dans tous les sens puisque la lumière vient de partout et de nulle part. Et en plus l’autofocus marche au contraste, alors pas de contraste, pas d’autofocus. Et pour mettre au point à la main sur l’appareil que j’ai, il faut se lever de bonne heure.
Ce que j’ai vu de plus intéressant aujourd’hui, comme lumière, c’est ceci :
J’espérais que ça donnerait mieux que ça. Si j’avais été au 16ème au lieu du 7ème étage j’aurais peut-être pu faire une prise plus longue, mais de chez moi, pas moyen, les lumières de la GRC sont trop vives.
Donc, jusqu’à ce que la météo me réussisse mieux, on va continuer à rediffuser des photos de jours plus lumineux.
1 commentaire:
Ça fait psychédélique un peu comme photos. J'haïs pas ça.
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