Comme je disais, je lis surtout aux toilettes, donc comme dans toutes les bonnes maisons, j’y garde toujours un livre. Mais je ne vais quand même pas garder ma Bible dans les chiottes, et encore moins le livre du béton, donc ce que je lisais aux toilettes pour janvier c’était Wild Bird Photography : National Audubon Society Guide, Tim Fitzharris, 1996.
Bon. D’abord c’est pas très bien édité, et moi ça m’énerve un peu de trouver « insure » au lieu de « ensure » ou « complimentary » au lieu de « complementary ». A mon avis les professionnels de la communication écrite devraient commencer par apprendre à épeler.
Deuxièmement, ça date d’il y a quinze ans, donc du temps de la photographie sur film, donc ça parle beaucoup de film, ce qui ne m’avance à rien. Ensuite ça parle beaucoup de Photoshop, ce qui ne m’intéresse pas puisque je ne l’ai pas. Puis ça t’explique qu’il ne faut pas déranger les oiseaux au nid, ça je le savais déjà. Et qu’il y faut la lumière du matin, je le savais, et l’ouverture la plus grande possible, je le savais, et un filtre polarisant, je le savais. En gros je n’ai rien appris, donc ça a été très plate de lire ça, et en plus les photos ne m’ont pas tellement plu, sauf les chouettes en pages 67 et 87. La plupart des photos sont modifiées par Photoshop, d’ailleurs.
Donc si je sais déjà tout sur la photographie d’oiseaux, vous vous demandez peut-être pourquoi mes photos ne sont pas meilleures. C’est juste parce que je prends mes photos pendant que je promène le chien, au lieu de me cacher dans un abri et de guetter pendant des heures.
Vingt-cinquièmement, j’ai lu le livre d’Ezéchiel. Je cherchais le passage de Pulp Fiction : « and I will strike down upon thee with great vengeance and furious anger, those who try to poison and destroy my brother. And you will know that I am the Lord, when I lay my vengeance upon you ». En fait C’est pas vraiment ça dans le texte original, mais c’est un bon livre. On y apprend comment construire un temple, les noms des douze tribus (remarque ça j’aurais pu le trouver sur Google), quels sacrifices il faut faire quel jour, et qu’il ne faut pas sortir du temple par la même porte par laquelle on est entré. Il résume toute l’histoire des hébreux en douze pages, mais il répète tout trois ou quatre fois, donc c’est un des livres les plus longs de la Bible. En résumé, on apprend surtout que le Seigneur va détruire Israël pour se venger, puis il va les reconstruire, et qu’il fasse l’un ou l’autre, c’est comme ça qu’on sait que c’est lui le Seigneur.
En fait, il est plus logique que je ne croyais, Yahvé.
Donc Ezéchiel, je recommande, sauf que maintenant j’ai la chanson dans la tête depuis des jours ; le bouquin de Fitzharris, pas trop, il doit sûrement y a avoir mieux.
Bon. D’abord c’est pas très bien édité, et moi ça m’énerve un peu de trouver « insure » au lieu de « ensure » ou « complimentary » au lieu de « complementary ». A mon avis les professionnels de la communication écrite devraient commencer par apprendre à épeler.
Deuxièmement, ça date d’il y a quinze ans, donc du temps de la photographie sur film, donc ça parle beaucoup de film, ce qui ne m’avance à rien. Ensuite ça parle beaucoup de Photoshop, ce qui ne m’intéresse pas puisque je ne l’ai pas. Puis ça t’explique qu’il ne faut pas déranger les oiseaux au nid, ça je le savais déjà. Et qu’il y faut la lumière du matin, je le savais, et l’ouverture la plus grande possible, je le savais, et un filtre polarisant, je le savais. En gros je n’ai rien appris, donc ça a été très plate de lire ça, et en plus les photos ne m’ont pas tellement plu, sauf les chouettes en pages 67 et 87. La plupart des photos sont modifiées par Photoshop, d’ailleurs.
Donc si je sais déjà tout sur la photographie d’oiseaux, vous vous demandez peut-être pourquoi mes photos ne sont pas meilleures. C’est juste parce que je prends mes photos pendant que je promène le chien, au lieu de me cacher dans un abri et de guetter pendant des heures.
Vingt-cinquièmement, j’ai lu le livre d’Ezéchiel. Je cherchais le passage de Pulp Fiction : « and I will strike down upon thee with great vengeance and furious anger, those who try to poison and destroy my brother. And you will know that I am the Lord, when I lay my vengeance upon you ». En fait C’est pas vraiment ça dans le texte original, mais c’est un bon livre. On y apprend comment construire un temple, les noms des douze tribus (remarque ça j’aurais pu le trouver sur Google), quels sacrifices il faut faire quel jour, et qu’il ne faut pas sortir du temple par la même porte par laquelle on est entré. Il résume toute l’histoire des hébreux en douze pages, mais il répète tout trois ou quatre fois, donc c’est un des livres les plus longs de la Bible. En résumé, on apprend surtout que le Seigneur va détruire Israël pour se venger, puis il va les reconstruire, et qu’il fasse l’un ou l’autre, c’est comme ça qu’on sait que c’est lui le Seigneur.
En fait, il est plus logique que je ne croyais, Yahvé.
Donc Ezéchiel, je recommande, sauf que maintenant j’ai la chanson dans la tête depuis des jours ; le bouquin de Fitzharris, pas trop, il doit sûrement y a avoir mieux.
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