Quelqu’un a écrit un commentaire sur mon article “Sur l’amitié”. Je ne l’ai pas lu (le commentaire) ni publié.
Alors du coup, je me dis, tiens, ça fait des années que je leur dit de fermer leurs gueules avec leurs opinions désobligeantes... Et maintenant je maintiens que d’être amis, ça veut dire de ne pas imposer le silence à ses amis. Alors si je dis à quelqu’un où il peut se les mettre, ses opinions désobligeantes, est-ce que c’est moi qui ai commencé cette absence d’amitié, ou est-ce que c’est lui?
Bon, vu que les opinions désobligeantes sont sur moi personellement, c’est en fait pas difficile: quelqu’un qui a des opinions désobligeantes sur moi personellement, c’est pas un ami, donc ça fait aucune différence que je lui dise de se la fermer. Enfin ça fait aucune différence sur l’amitié, puisqu’il n’y en a déjà pas. Si ça pouvait faire la différence que le non-ami se la ferme, ça m’arrangerait un peu, mais bon, faut pas rêver.
Ce qui est marrant, quand même, quand on y repense, c’est que ces acharnés, ils s’imaginent toujours être aussi dans leur bon droit parce que selon eux, mes opinions désobligeantes à moi sont sur eux personellement. Parce que évidemment, si je dis que les trottoirs de Paris sont dégueulasses, c’est une attaque personelle sur la moralité de chaque parisien. Evidemment. Donc oui, eux trouvent avoir également raison de me dire de me la fermer.
Alors c’est bien, comme ça on est tous d’accord.
Ah, tiens, non, on n’est pas d’accord, parce qu’il reste encore la question de qui addresse la parole à qui. Ou le mail, ou le commentaire de blog. Parce que moi je ne me donne pas la peine d’addresser la parole, le mail ou le commentaire à des gens qui ne sont pas mes amis, alors que les gens qui ne sont pas mes amis, justement, continuent à m’addresser la parole &c. Et c’est bien là le hic. Que vous ayez des opinions désobligeantes, je m’en fout. Je le sais déjà, hein, j’ai quand même passé près de 17 ans à vivre avec vos opinions désobligeantes de moi, alors c’est pas la peine de vous répéter. Et surtout c’est pas la peine de me les répéter. Alors depuis 17 ans que justement je ne vis plus chez vous, pourquoi faut-il toujours vous acharner à me les répéter, vos opinions? J’ai bien capté, et je m’en fout, shut up. Et ça, je le répète depuis six ans que je blogue, et pourtant, ça ne marche pas. Et je ne m’explique vraiment pas pourquoi.
Alors du coup, je me dis, tiens, ça fait des années que je leur dit de fermer leurs gueules avec leurs opinions désobligeantes... Et maintenant je maintiens que d’être amis, ça veut dire de ne pas imposer le silence à ses amis. Alors si je dis à quelqu’un où il peut se les mettre, ses opinions désobligeantes, est-ce que c’est moi qui ai commencé cette absence d’amitié, ou est-ce que c’est lui?
Bon, vu que les opinions désobligeantes sont sur moi personellement, c’est en fait pas difficile: quelqu’un qui a des opinions désobligeantes sur moi personellement, c’est pas un ami, donc ça fait aucune différence que je lui dise de se la fermer. Enfin ça fait aucune différence sur l’amitié, puisqu’il n’y en a déjà pas. Si ça pouvait faire la différence que le non-ami se la ferme, ça m’arrangerait un peu, mais bon, faut pas rêver.
Ce qui est marrant, quand même, quand on y repense, c’est que ces acharnés, ils s’imaginent toujours être aussi dans leur bon droit parce que selon eux, mes opinions désobligeantes à moi sont sur eux personellement. Parce que évidemment, si je dis que les trottoirs de Paris sont dégueulasses, c’est une attaque personelle sur la moralité de chaque parisien. Evidemment. Donc oui, eux trouvent avoir également raison de me dire de me la fermer.
Alors c’est bien, comme ça on est tous d’accord.
Ah, tiens, non, on n’est pas d’accord, parce qu’il reste encore la question de qui addresse la parole à qui. Ou le mail, ou le commentaire de blog. Parce que moi je ne me donne pas la peine d’addresser la parole, le mail ou le commentaire à des gens qui ne sont pas mes amis, alors que les gens qui ne sont pas mes amis, justement, continuent à m’addresser la parole &c. Et c’est bien là le hic. Que vous ayez des opinions désobligeantes, je m’en fout. Je le sais déjà, hein, j’ai quand même passé près de 17 ans à vivre avec vos opinions désobligeantes de moi, alors c’est pas la peine de vous répéter. Et surtout c’est pas la peine de me les répéter. Alors depuis 17 ans que justement je ne vis plus chez vous, pourquoi faut-il toujours vous acharner à me les répéter, vos opinions? J’ai bien capté, et je m’en fout, shut up. Et ça, je le répète depuis six ans que je blogue, et pourtant, ça ne marche pas. Et je ne m’explique vraiment pas pourquoi.
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